Finances communales : (re)précisions !

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    Le bulletin municipal nouveau est arrivé !

   Premier de ce mandat, il rend compte, entre autres, de la vie municipale de l’année écoulée, bien particulière à deux titres : la crise sanitaire et le double changement dans l’exécutif de la commune.

   Les finances sont, bien sûr, évoquées (notons un défaut de relecture dans la légende du budget ! ), rappelant les « inquiétudes du début de mandat précédent (2014/2020) relatives aux finances communales« . Il convient de re-rappeler que cette situation avait été, non seulement expliquée tout au long du mandat d’avant (2008/2014), toujours avec anticipation au regard des choix d’investissement, mais, de plus, choisie et approuvée par tous les élus (dont ceux qui s’en inquiétaient en 2014)  . . . il peut être « bon » de revoir, à ce sujet, les précisions présentées en octobre 2014 (cliquer  ici ) !

   Par ailleurs, on se félicite de la baisse de la dette au cours du mandat écoulé . . . ce qui était prévu (avec le remboursement régulier des annuités, comme pour tout emprunteur solvable !), mais qui  s’est trouvé amélioré par le « phénomène » du transfert de compétence de l’assainissement à la communauté d’agglomération : le budget assainissement a disparu de la comptabilité communale ( ainsi que la dette correspondante, qui reste toutefois diluée dans celle de la structure intercommunale, émanation des communes). Pour mémoire, il comportait deux prêts (dont les échéances finales sont en 2030 . . . et 2020 ! ), en face desquels sont encaissées les redevances des usagers. Enfin, il convient de rappeler aussi que 2018 a aussi vu se terminer un prêt de façon « naturelle » : celui du logement sur la salle polyvalente (qui continue, par contre, à produire un revenu locatif).

   Il reste donc deux emprunts en cours : celui de la rénovation du presbytère (se terminant en 2025, mais couvert par les loyers encaissés), et celui de l’opération coeur de village ( fin en 2031), qui concerne la deuxième tranche uniquement ; en effet, la première tranche avait aussi été réalisée « sans recourir à l’emprunt grâce à l’autofinancement et à l’obtention de subventions » . . . comme bien d’autres opérations encore avant 2015, à Drom comme dans de nombreuses communes !