Les Dromignons découvrent la sagesse africaine

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Ambiance feutrée et intime

  Un peu comme des fables de La Fontaine, mais version africaine : les Dromignons ont découvert des contes africains du Mali et de Mauritanie, dont les personnages sont des animaux, avec, toujours, une part de morale. Aurélie Girodon, comédienne et enseignante à Musikar, les a ainsi captivé avec « Le rire du phacochère« , « Pourquoi l’éléphant a peur du coq » ou bien encore « Quand le lion épousa la brebis« .

Paroles et musique

  Aurélie était accompagnée par Maëlenn Dano, à la harpe celtique, et les musiciens intervenants du territoire, François Puthet, Aline et Didier Joannon, aux percussions africaines, dans le cadre d’un partenariat avec l’agglomération ; le but étant de faire découvrir aux élèves un répertoire musical différent, voire de leur donner envie de participer. En effet, Musikar projette de mettre en place des cours de percussions africaines et organise déjà des ateliers théâtre.
  Mais, lors des échanges, Aurélie a constaté qu’elle n’avait pas affaire à des novices ! Alors elle a terminé avec une légende de Haiti : « L’enfant crapaud et Simbi« , où, en plus, intervient une sirène . . . 

Eléphant, phacochère, singe : toute la faune africaine fournit les personnages des contes


Même la lumière s’adapte à l’histoire . . .


L’enfant crapaud et Simbi

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