Quelques réactions . . .
(pour plus de « discrétion », tous les auteurs sont indiqués au masculin ; la majorité des réactions verbales - en direct ou par téléphone - n'ont…
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Il est des traditions qui reviennent épisodiquement. Lors d’une élection municipale sur deux, à Drom, les nouveaux élus voient se dresser, devant leur domicile,…
Avril 2014, semaine 14
Les élections municipales touchaient à leur fin. A Drom, Daniel Brochier, maire sortant, encouragé par une bonne partie de la population et des élus sortants, avait annoncé depuis un semestre son intention de proposer sa candidature à sa propre succession. Sollicité par plusieurs de ses collègues de la CCTER (Communauté de Communes de Treffort en Revermont), il avait aussi confirmé son accord pour se proposer à un deuxième mandat à la présidence de cette communauté.
Avec Florence Blatrix, première adjointe, une liste de 10 candidats avait été constituée, tous élus dès le premier tour, totalisant de 70 à 90 % des suffrages exprimés ; le maire sortant approchant les 75 % après son deuxième mandat (et le quatrième dans ce conseil municipal). Un deuxième tour voyait se rajouter une onzième élue (provoquant l’indignation de l’ancienne secrétaire de mairie, maman de l’adjointe, voyant là une « manœuvre » dudit maire sortant).
Tentative de « négociations » à la communauté de communes . . .
Le troisième jour après ce deuxième tour, (soit le mercredi 2 avril), le président de la CCTER était contacté par Denis Perron, nouvel ancien maire de St Etienne du Bois, par ailleurs vice-président du Conseil Général, vice-président sortant de la CCTER, et délégué communautaire pour le mandat qui débutait. Après avoir perdu son siège dans sa propre commune (avec 35 % de voix au scrutin de liste), ce dernier lui annonçait son intention de briguer la présidence de la communauté, et souhaitait un entretien immédiat pour en parler. Dès le lendemain (jeudi 3 avril), il souhaitait que le président sortant lui fasse des « propositions » pour négocier son désistement en sa faveur (une première vice-présidence, ou une délégation particulière . . . ? ).
Estimant qu’une telle « discussion » ne devait avoir lieu, la semaine suivante, qu’entre les maires des 12 communes concernées, le président sortant ne souhaita pas s’engager dans de tels « arrangements ».
. . . puis à la commune. (suite…)